2017

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Décadence dans la science - 1

Le matérialisme contre la théorie du big bang




La cosmologie moderne a accepté l'idée du "big bang", théorie selon laquelle l'univers aurait été créé (de nulle part ?) il y environ 13,7 milliards d'années. L'objet de ce texte n'est pas de disséquer en entier cette théorie mais de discuter les arguments qui "prouvent" cette théorie. Car il est bien évident que si les pilliers pseudo-scientifiques de cette théorie sont abattus, c'est tout l'édifice qui s'effondre. Il faut aussi prendre garde à ne pas croire que parce que des milliers de "scientifiques" acceptent sans broncher cette théorie, prouve qu'elle est vraie. La vérité ne sort pas d'un vote entre grands sages. L'histoire nous a déjà montré comment les vénérables institutions pseudo-savantes étaient capables d'affirmer sans sourciler que le Soleil tournait autour de la Terre, et que celle-ci était le centre du monde... De plus, un certain nombre de scientifiques rejette cette théorie, ce qui ne prouve rien en soi, mais juste que le soit disant "consensus scientifique" n'existe pas.


1- Le décalage vers le rouge

Le premier pillier de cette théorie s'appuie sur une observation faite sur les galaxies lointaines. Plus on observe des galaxies lointaines, plus on observe un "décalage vers le rouge" dans leur spectre. Le spectre lumineux se divise en effet en deux axes :



Les étoiles émettent un rayonnement d'ordinaire plus vers le violet que vers le rouge. Plus on observe une galaxie lointaine, plus celle-ci a un spectre qui est vers les grandes longueurs d'ondes (vers le rouge). La longueur d'onde est tout simplement la largeur du motif en forme de cloche. Plus la cloche forme un motif serré, plus la longueur d'onde est petite, plus ça va vers le violet. Au contraire plus la cloche est large, plus c'est une longueur d'onde élevée, plus ça va vers le rouge.

Pour expliquer le décalage vers le rouge des galaxies lointanes, les physiciens ont donc fait appel à "l'effet doppler". Un peu comme une ambulance dont le son devient plus grave ou plus aigu selon qu'elle s'approche ou qu'elle s'éloigne. En effet, le son est une onde, qui produit une tonalité plus ou moins grave selon la longueur d'onde. Quand l'ambulance s'approche, le son se "comprime" ce qui diminue la longueur d'onde et produit un son plus aigu. Quand l'ambulance s'éloigne, la forme de la cloche s'élargit, le son devient plus grave.

Les physiciens ont donc affirmé que les galaxies seraient un peu comme des ambulances qui s'éloignent de nous : leur "cloche s'élargit", la lumière qui nous parvient se décalerait donc vers le rouge.

Dans la théorie moderne du big bang, en fait, ce ne seraient pas les galaxies qui s'éloignent mais l'espace entre les galaxies qui augmente (je n'insiste pas pour l'instant sur cet aspect de la théorie). Quoi qu'il en soit, voilà l'argument fondateur de la théorie du big bang.

Or a-t-on un seul instant discuté l'interprétation de cette observation ?

Evidemment, le décalage vers le rouge ne pouvait, selon nos grands savants, ne provenir qu'une d'une seule et unique explication. Mais nous allons revenir à une échelle beaucoup plus petite pour comprendre en quoi c'est faux.

Des décalages vers le rouge, ne serait-ce que dans notre petit système solaire, eh bien on en voit déjà pas mal. Ne serait-ce que le matin et le soir, quand le soleil se lève et se couche. Ici un exemple de soleil rouge :





Examinons ce dessin :





Ce qu'on observe, c'est que la lumière du Soleil, avant de parvenir jusqu'à nous, traverse l'atmosphère terrestre. Mais selon que la lumière arrive de façon perpendiculaire ou tangente, ce chemin à travers l'atmosphère est plus ou moins long. Si le Soleil est au zénith, alors la couche d'air que la lumière traverse est plus fine. Si la lumière arrive en oblique, alors le chemin à parcourir dans l'atmosphère est plutôt long. C'est notamment le cas quand le Soleil se lève ou lorsqu'il se couche.

Alors, que se passe-t-il ? Eh bien, la lumière du Soleil, plutôt blanche, est faite de rayons de plusieurs longueurs d'ondes. Certaines plus du côté du violet, certaines plus du côté du rouge. L'atmosphère terrestre absorbe et diffuse une bonne partie des petites longueurs d'ondes (violet). Et plus la lumière doit traverser une grande couche d'atmosphère, plus les petites longeurs d'ondes (côté violet) sont absorbées. Bref, si la lumière traverse une trop grande couche d'atmosphère, eh bien il ne reste plus que les grandes longueurs d'ondes (côté rouge). Notez que c'est grâce à cette atmosphère que nous ne sommes pas grillés sur place (car les petites longueurs d'onde : violet, ultra-violets, rayons X, gammas, etc.) sont plutôt dangereuses en grande quantité, pour nous les humains.

Bref, plus la lumière du Soleil doit traverser une grande couche d'atmosphère, plus le côté violet du spectre est supprimé. Ce qui nous arrive aux yeux, c'est ce qui reste : le côte rouge. Et donc, le Soleil nous apparaît rouge. Bien sur, au fur et à mesure qu'il se lève, la lumière arrive avec un angle de plus en plus petit, la couche d'atmosphère à traverser est de plus en plus mince, et donc vers midi, le Soleil nous apparaît bien blanc ou jaune (sauf pour ceux qui habitent au pôles, qui ne voient jamais le zénith). Ensuite il se couche et nous apparaît à nouveau en rouge.

Qu'est-ce que cela nous apprend ? Que notre perception de la lumière qui nous vient de l'espace peut être affectée par le milieu dans lequel la lumière se déplace avant d'arriver jusqu'à nous.

Or bien sur les grands savants pseudo-scientifiques ne prennent pas la peine de se demander ce qu'il y a entre ces galaxies très lointaines et nous. On ne voit rien, donc il n'y a rien ? Eh non, l'espace inter-galactique n'est pas un milieu vide. Partout, des petites particules (forcément invisibles car très petites et pas regroupées) sont en suspension. Des nuages de gaz également, son présent en grande quantité. Mais cela n'intéresse peut-être pas nos grands savants.

Ce qu'il faut retenir de ça, c'est que l'univers dans lequel on est doit plus être considéré comme une sorte de liquide. Si on zoomait à fond à l'intérieur de l'eau, on croirait que l'eau est faite de 99% de vide (et on aurait pas tort). Sauf que si on regarde à travers l'eau, on voit bien que la lumière qui passe à travers est fortement affectée par ce passage dans 99% de vide ! Donc il faut en conclure que même un espace pratiquement vide suffit à troubler la lumière qui nous parvient. Et c'est logique, surtout sur des distances énormes, les petits rayons lumieux provenants des galaxies lointaines doivent en faire un sacré chemin avant d'arriver jusqu'à nous. Combien de nuages de gaz, de poussière, de particules, de petits blocs de matière, etc. elle doit traverser avant d'arriver jusqu'à nous !

Dès lors, l'explication unilatériale du "décalage vers le rouge" à cause de l'expansion de l'univers ne tient pas. Certes les galaxies ne sont immobiles, certaines vont vers nous, et d'autres s'éloignent de nous, ça bouge au-dessus de nos têtes. Mais expliquer le décalage vers le rouge uniquement par le mouvement des galaxies, c'est faire l'impasse sur 90% du problème.

Plus une galaxie est lointaine, plus elle traverse ce milieu "liquide" ou "gazeux" qu'est l'univers, et donc plus on observe un décalage prononcé (vers le rouge).

Nos grands savants pseudo scientifiques évidemment, interprètent autrement, pour eux, plus une galaxie est lointaine, plus elle s'éloigne de nous à toute vitesse !!!



2- Le fond diffus cosmologique

Le fond diffus cosmologique est ce qu'on observe dans l'espace et dans toutes les directions, au niveau de certaines grandes longueurs d'ondes, entre l'infrarouge et les ondes radios. Selon la théorie du big bang, ce fond diffus serait le témoin des premiers instants ayant suivi le big bang.






Nos grands savants très très intelligents et qui ont fait beaucoup d'études se servent de cette observation comme "preuve irréfutable" de la théorie du big bang.

En fait, disons-le clairement, personne ne sait ce que c'est.

Premièrement, cela fait seulement 50 ans que des observations sur ce spectre sont faites. Deuxièmement, nos observations sont faites depuis un point unique de l'univers (notre système solaire).

Donc prétendre que cette observation suffit à prouver quoi que ce soit est fausse. Tout au plus, ce que nous dit cette observation, c'est qu'entre 1965 et 2016, nous avons observé, depuis notre petit secteur de galaxie (ce qui est peu dans l'univers), cette image en pointant nos détecteurs vers le ciel. Point.

Est-ce que ce fonds diffus existait il y a plusieurs milliards d'années ? Est-ce qu'il existera encore dans un million d'années ? En fait personne n'en sait rien.

Il se peut très bien qu'il ait été provoqué par l'explosion de l'étoile qui a précédé notre système solaire. Car après tout nous ne vivons jamais que sur un cratère encore fumant où existait avant une étoile bien plus grosse que le Soleil.

Il se peut très bien que ce fond diffus soit causé par une explosion quelconque qui a eu lieu dans notre galaxie.

Il se peut très bien que ce fond diffus soit causé par notre galaxie elle-même.

Bref, on pourrait émettre des tas de théories plausibles. Prétendre que cette observation conduit unilatérialement à la théorie farfelue du big bang est faux.



3- La nucléosynthèse

Le dernier argument censé "prouver" la théorie du big bang s'appuie sur la répartition des éléments dans l'univers. Par exemple les atomes de base sont des atomes d'hydrogène, d'hélium. On sait qu'au coeur des étoiles, ces atomes fusionnent continuellement en atomes plus gros (oxygène, carbone, fer, voir uranium pour les plus gros). C'est même cette réaction qui explique l'énergie des étoiles et leur intense rayonnement.

La théorie du big bang affirme pouvoir calculer de quel pourcentage d'hydrogène dans l'univers, le pourcentage d'hélium, d'oxygène, etc. Or nous n'avons à ce jour observé que 1% de l'univers (selon nos grands savants).

En fait encore une fois nous n'avons aucune observation tangible qui permette de calculer de quoi sont composées les galaxies lointaines, ni de quelle quantité de matière est fait le milieu inter-galactique, que nos grands savants considèrent comme vide au cours de leurs calculs, bien qu'ils soient obligés d'admettre par derrière qu'il ne l'est pas, mais dans ce cas, pourquoi n'en tiennent-ils pas compte dans leurs calculs ?

Ce que l'on sait, c'est que la fusion des éléments légers comme l'hydrogène au coeur des étoiles produit des éléments plus lourds comme le fer. Mais rien ne nous renseigne sur la durée de vie des éléments lourds. On sait déjà que des éléments lourds instables comme l'uranium, le plutonium, etc. ont tendance à se désagréger vers des formes plus stables comme le plomb. Le plomb lui-même n'est sans doute pas éternel.

Les scientifiques modernes ne tiennnent pas compte de la loi du développement inégal propre à tous les phénomènes dans la nature. Tout ne se développe pas partout à la même vitesse. Et donc, se baser sur une observation de notre univers proche pour en conclure ce qu'est l'univers lointain est faux. La seule chose qui peut trancher est l'observation, à condition bien sur qu'on sache l'interpréter correctement.



4- L'âge de l'univers

Nos grands savants ont décrété que l'univers était âgé de 13,7 milliards d'années (environ). Et pour preuve, nous n'arriverions pas à observer quoi que ce soit au-delà de 13,7 milliards d'années lumières.

Premier problème, si nous observons dans toutes les directions et qu'à chaque fois nous buttons à une même distance, cela signifierait que nous serions au centre d'une grande sphère... ? Donc... au centre de l'univers !? Et voilà nos grands savants qui ont remis la Terre au milieu de l'univers...

Deuxième problème, ce n'est pas parce que nous n'arrivons pas observer plus loin qu'il n'y a rien plus loin ! D'ailleurs rien n'indique en fait que nous n'observons pas plus loin vu que leur méthode de calcul des distances est biaisée. C'est tout à fait logique que notre champ de vision soit limité. La lumière rencontre des obstacles sur son parcours et donc faiblit. De plus, plus un objet est lointain, plus il faut une lunette très large pour capter le maximum de rayons. Or aujourd'hui on ne sait pas faire ce genre de téléscope. Enfin rien ne renseigne vraiment sur "l'âge" des galaxies très lointaines que nous observons, comme nous allons le voir.

Troisième problème, la façon de calculer la distance des galaxies lointaines est fausse. Jusque là on se basait sur le fait que la lumière des galaxies lointaines met un certain temps à venir jusqu'à nous. Donc si on regarde loin, on regarde en fait vers le passé. C'est juste. Puisque la lumière n'arrive pas en instantané jusqu'à nous, il y a un décalage. Or nos grands savants font leurs calculs en partant du principe que leur théorie du big bang est vraie. Ils affirment que le big bang est vrai, en déduisent une méthode de calcul de l'âge des galaxies, ce qui "prouve" bien sur que le big bang est vrai ; et ils fournissent pléthore de résultats avec cette méthode. Nous voilà pourtant revenus au problème de l'argument circulaire : la théorie se base sur des calculs qui partent du principe que la théorie est vraie. C'est à dire qu'ils se basent sur l'analyse spectrale (histoire du violet et du rouge) pour savoir à quelle vitesse se déplacent les galaxies loitaines. Dans la réalité, et le monde des gens sensés, c'est à dire ceux qui ne sortent pas d'un asile de fou ou du laboratoire de ces "grands scientifiques", une théorie ne peut pas s'appuyer sur elle-même pour prouver qu'elle est vraie. Si on veut connaître la distance qui nous sépare des galaxies, il faudra trouver une solution qui n'existe pas encore. A l'heure actuelle on ne sait mesurer que la distance qui nous sépare des galaxies proches (grâce à des étoiles très brillantes), et c'est tout.

Enfin, quatrième et dernier problème, toutes nos observations sont faites depuis un seul endroit de l'univers, ce qui est assez faible pour prétendre expliquer l'univers tout entier. Car les observations faites sont bien trop floues pour trancher quoi que ce soit. La preuve en est qu'elle permet à ces "grands savants" de profiter de l'argent public pour publier leurs théories fumeuses sans que personne ne vienne mettre le hola. En réalité, il faudrait une multitude de points d'observation, au moins dans le système solaire, pour pouvoir interpréter correctement les observations qui sont faites.



5- Les âneries de la cosmologie moderne

Comme nous l'avons vu, les pilliers innébranlables de la cosmologie moderne sont tout aussi innébranlables que les convictions bornées des savants des derniers siècles qui affirmaient que la Terre était immuable ou que le Soleil tournait autour de la Terre (voir que celle-ci était plate).

La théorie du big bang initiale masquait son mysticisme en tentant de rester dans les clous du bon sens, et s'appuyait encore sur une forme de science, quoi que déjà très biaisée. La forme actuelle de la théorie a pris un tournant particulièrement ridicule, d'une cessité à toute épreuve.

L'impulsion initiale et divine du big bang ne suffisait pas à expliquer quoi que ce soit à "l'expansion de l'univers" faussement observé. En effet, le nouveau délire consiste à affirmer que cette expansion est de plus en plus rapide ! Mais alors d'où viendrait cette impulsion ? "Dieu" continuerait-il à pousser contre les bords de l'univers ? D'où vient cette impulsion magique ? Mais nos "scientifiques" ont trouvé la réponse : l'énergie noire, la matière noire, bouh, la grande main cosmique qui resout leurs équations sans queue ni tête. Ce qu'ils n'arrivent pas à expliquer, c'est que si une "matière noire" constitue 95% de l'univers, cela remet en question la base même de la théorie du big bang (qui se base sur l'observation des galaxies lointaines), puisque cette matière noire ne peut pas ne pas biaiser les calculs sur lesquels ils se basent pour affirmer que les galaxies s'éloignent en permanence les unes des autres. Ce qui devait aider la théorie à tenir debout aboutit à détruire la théorie. Et on ne sait encore avec combien de béquilles et de sparadraps le cadavre de la théorie du big bang finira, mais c'est plus une momie qu'autre chose.

Engels remarquait déjà, dans sa lettre à Marx du 21 mars 1869 : « In Germany the conversion of the natural forces, for instance, heat into mechanical energy, etc., has given rise to a very absurd theory, which incidentally follows with a certain inevitability from Laplace’s old hypothesis, but is now displayed, as it were, with mathematical proofs: that the world is becoming steadily colder, that the temperature in the universe is levelling down and that, in the end, a moment will come when all life will be impossible and the entire world will consist of frozen spheres rotating round one another. I am simply waiting for the moment when the clerics seize upon this theory as the last word in materialism. It is impossible to imagine anything more stupid. Since, according to this theory, in the existing world, more heat must always be converted into other energy than can be obtained by converting other energy into heat, so the original hot state, out of which things have cooled, is obviously inexplicable, even contradictory, and thus presumes a god. Newton’s first impulse is thus converted into a first heating. Nevertheless, the theory is regarded as the finest and highest perfection of materialism; these gentlemen prefer to construct a world that begins in nonsense and ends in nonsense, instead of regarding these nonsensical consequences as proof that what they call natural law is, to date, only half-known to them. But this theory is all the dreadful rage in Germany. »

(Source)

Le monde aurait été créé par une impulsion de chaleur initiale et se dirigerait vers un état sans mouvement… C'est bien ce qu'affirme la théorie actuelle du big bang.

On en serait presque à regretter le temps de l'inquisition où même les savants de l'église n'auraient pas osé formuler de thèse aussi ridicule et tirée par le cheveux.

Mais nos grands savants ont-ils pris la peine de calculer ce que signifie leur expansion de l'univers à notre échelle ? En effet, dans leur théorie, c'est l'epsace qui "enfle" (tiens, l'espace serait séparé de la matière ?). Donc, un peu comme sur un ballon dégonflé, si on dessine deux points avec un feutre et qu'ensuite on souffle dans le ballon, et bien les points s'éloigneraient l'un de l'autre (sans vraiment bouger à la surface du ballon).

Or nos scientifiques ont oublié que si les galaxies s'éloignent les unes des autres suivant la "constante de hubble", alors la Terre s'éloigne aussi du Soleil, et même nous en tant qu'être humains, nous "enflons" en permanence, à une certaine vitesse (qui bien sur serait plus faible pour les objets plus petits). Or si on fait un calcul tout bête, on se rend compte que notre système solaire lui-même devait être beaucoup plus petit il y a seulement quelques millions d'années. La Terre elle-même aurait grossi entre temps, et le Soleil aussi. Mais ce genre de calcul tout bête n'intéresse pas nos grands savants, bien plus préoccupés par leur mystique de la matière noire et de l'énergie sombre ou je ne sais quelle autre idée farfelue.

Bref, il en va ainsi des sciences, qui ne se développement jamais séparément de la société qui les produit. Notre période d'extrême décadence produit nécessairement une décadence extrême dans les sciences, avec des théories toujours plus irrationnelles, sans queue ni tête, frisant avec le mysticisme. De même que les grands savants de l'église catholique envoyaient Gallilée en procès par peur de perdre leur poste prestigieux au sein d'institutions vénérables, de même nos grands savants détournent des milliards de dollars et d'euros pour produire du vent intellectuel et conserver un poste confortable. S'éloignant toujours plus du matérialisme et de la science, ces théories sont la preuve d'une grande crise dans la science actuelle...

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